Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
samedi, octobre 27, 2007 Bientôt ou tout de suite Les gens me fatiguent en ce moment. Je suis déjà fatiguée. Je m'use à faire ce que j'aime, à avancer. Parfois je ressens l'ivresse de la vitesse. J'ai le cerveau qui file à toute allure. Des prises de conscience fulgurantes, et je dodeline gentiment de la tête et c'est reparti. Un bouquet de détails et de mots. "Mais si vous vous engagiez..." "Comment pouvez-vous construire..." "Tu remets toujours tout à demain" "Mais c'est comme ça, on n'y peut rien" Des positions clean et gerbantes. Ca fourmille un peu partout. Je suis un drôle de mélange. Ferveur et nihilisme, faut te soigner ma vieille. Forcément mon flanc est assez large pour que la critique l'atteigne. Je suis inquiète, et j'ai toujours cette rage latente qui s'est recroquevillée quelque part en moi là où il fait plus sombre. Je vous fais à tous mon plus beau sourire de Joconde. Vous voulez comprendre ? Pour 29,90, faut pas déconner, il n'est pas garanti sur facture que vous compreniez. Vérifiez sur votre contrat. Ca vous demandera parfois un tout petit peu plus que d'être mollement assis devant votre ordi à lire une ligne sur quatre de mes rarissimes posts. J'aurais dû vous raconter mon voyage en Inde. J'aurais dû vous raconter, ne serait-ce qu'à mi-mots, la suite. Fabienne Franseuil serait-elle morte ? Mais qui êtes vous pour me poser cette question ? Je vous demande, moi, si vous êtes vivants ? Ah oui. Bon alors non, je ne suis pas morte, c'est même l'inverse qui est en train de se produire. Pas mal de choses complexes sont en train d'arriver. Seulement c'est fou la quantité de choses qui vous engluent. A commencer par la sempiternelle bienséance, qui fait hésiter à appuyer sur le bouton publier parce qu'on a pas relu et qu'on sait qu'on écrit sur le coup de la fatigue.
12:40 AM