Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
vendredi, juin 21, 2002 Pot-pourri de considérations passagères Ca y est, Nava a pu tourner off toutes ses machines ;-) : son travail est fini! Encore un qui n'a pas dû dormir des masses...
J'ai une réunion pour l'édition d'un volume d'histoire; j'aimerais bien rester couchée...
Et puis j'ai reçu un mail où ça parle des citations du Loft. Pour quelqu'un qui n'a pas la télévision, qui n'entend quasiment jamais parler de ce truc, c'est assez impressionnant. Il y en a des bien gratinées, quand même... Mais ce qui m'impressionne, c'est combien des gens dont le cerveau fonctionne et regorge de tas de trucs, combien ces gens, donc, restent attachés à la chronique de cette histoire de Loft, tout en ayant l'air de ne pas y toucher... Phénomène intéressant. Bon là je n'ai pas le temps, mais je suppose qu'on pourrait creuser dans la direction "mouton noir" nécessaire à la définition et au bien être d'un groupe social, angoisse personnelle qui pousse à chercher plus nul que soi pour mettre une barrière humaine entre soi et la connerie...Je ne sais pas. Je n'ai pas très envie d'aller plus loin dans une réflexion sur une émission que je n'ai quasiment jamais vue (sauf peut-être trente seconde, une fois). Fermons donc ensemble et joyeusement le chapitre du Loft, déjà bien assez conséquent.
Pffffff, j'ai pas envie d'y aller...
9:03 AM