Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
vendredi, juillet 26, 2002 Le repos du guerrier Et merde, j'ai fait une fausse manip et j'ai effacé un long post où j'expliquais que mon entretien de (pseudo) embauche s'était bien passé, et que de manière assez inexplicable, je m'étais fait draguer pas moins de trois fois. D'abord, un jeune homme un peu bizarre mais sympatique au demeurant. Extraits choisis : "vous avez sauvé l'inspiration" (je lui ai prêté un stylo), ou encore "si vous aviez été italienne, vous vous appelleriez Esposito" (c'est le nom qu'on donne aux enfants qui ont été abandonnés par leurs parents). Ca n'a l'air de rien mais le nom me plaît. Je n'ai pas été abandonnée par mes parents mais... le nom me parle.
Ensuite il y a eu un jeune garçon joueur d'accordéon, qui n'a rien trouvé de plus malin que de venir jouer faux dans mes oreilles, en forçant sur le soufflet pour que ça fasse plus de bruit. Et pour finir, il y a eu un mec qui disait qu'il ne savait pas très bien écrire, et qui m'a demandé d'écrire pour lui quelque chose. Sur son carnet, j'ai donc écrit : "vous me plaisez beaucoup. vous êtes à mon goût (oui, salée comme il faut et tout, enfin là c'est moi qui rajoute)". J'ai pas épilogué, je lui ai rendu son carnet, je lui ai dit de rien et je me suis barrée.
Et là je suis cre-vée. Même pas le courage d'aller faire la fête, d'aller un cinéma. J'ai envie d'aller voir "Maya", et puis "Lagaan", et puis "Mes chers voisins" (non j'ai pas envie d'aller voir mes voisins, je parle d'un film, faut suivre un peu quand même), et puis "Hors d'atteinte", et puis "Lilo et Stitch". Nonnon il n'y a pas d'erreur dans la liste :)
Envie de me fumer un narguilé, aussi. Mais je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, j'ai quelque difficulté à me caler tranquille dans un café à narguilé, pour la bonne raison que je connais à peu près tous les serveurs de bars à narguilé et qu'il trouvent que je travaille trop. Donc ils viennent me parler, et j'ai pas forcément envie de ça ce soir (ni aucun autre soir?). Donc mon narguilé je vais me le fumer chez moi, tout doucement, en pensant à Nava qui va venir la semaine prochaine. Une semaine exactement. Un petit peu plus tôt que prévu. (...) Heureusement que je suis crevée parce que sinon je serais tentée de dire combien il me manque. Dans le cadre du cas "Fabienne Franseuil" (merci Kobal2, troisième ou quatrième lien vers chez toi, nonnon me remercie pas tu me dois juste la reconnaissance éternelle), vous vous demandiez ce que vous deviez penser de Nava. C'est évident. Du bien. S'il existe, il est attachant, attirant, hallucinant (ouioui que des adjectifs en "a", et ça m'ennuie parce que j'aurais voulu mettre exceptionnel aussi...).
Nava vient. Nava vient. (...)
Pour fêter ça il sera à l'abricot, mon narguilé.
9:14 PM