Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
jeudi, décembre 12, 2002 Ensemble Je nous imagine, debouts sur une petite estrade de kermesse annuelle des petits maternels, un truc improvisé, avec des couleurs partout, et nous deux au centre, toi dont je saurais maquiller les yeux parce que j'ai les mêmes, toi qui me gardes éloignée de toi pour une raison qui m'échappe, toi que j'ai aimé d'un amour "déplacé" (parfois [euphémisme...] on ne choisit pas la tournure que prennent nos sentiments). Et puis chanter avec toi, avec du silence tout autour, des sourires dans les yeux et dans la voix... Et puis ta voix et la mienne qui se mélangent dans une première réconciliation. Un chant très rapide, deux gamins qui s'offrent un petit larcin de joie pour aller se planquer aussi sec.
C'est une image qui ne me quitte pas. C'est bien dommage que ça ne suffise pas de poser des mots ici pour que ça se produise. Deux têtes rondes au centre de la scène, ça serait rigolo, ça aurait un petit côté Chapi-Chapo.
Bon, je serai plus claire la prochaine fois. Mais ce soir ça sort comme ça.
8:13 PM