Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
jeudi, avril 17, 2003 Colère Je viens de lire un texte qui m'a giflé en pleine figure. Injustice, INJUSTICE, BORDEL !!!!
J'aimerais bien comprendre pourquoi c'est toujours les même qui réfléchissent, comprennent, pardonnent, alors que d'autres se contentent tout au plus d'arrondir la bouche pour vous dire "mais enfin, je suis ton père, ta mère, ta petite amie !". Pourquoi ? Pourquoi ? POURQUOI ? Pourquoi c'est toujours les mêmes qui se rongent de l'intérieur parce que ces connards sont incapables d'aligner deux pensées à peu près cohérentes dans leur putain de vie ? Pourquoi c'est toujours les mêmes qui vont voir un psy parce qu'ils reconnaissent qu'ils ont un problème ? Pourquoi ça ne serait pas DES AUTRES que viendrait le problème, ne serait-ce qu'une fois ? Pourquoi les victimes de ce grand massacre silencieux n'auraient pas la possibilité de se désserrer le noeud de culpabilité en se disant que peut-être, c'est aussi un peu de la faute de l'autre ? Parce que les victimes, elles culpabiblisent, aussi étrange que ça puisse paraître... "Ok il/elle n'a pas été parfait(e), mais il y a eu un soir, je crois, où il/elle était un peu moins braqué, j'aurais dû faire un pas vers lui/elle". Tout ça me donne envie de vomir. De vomir sur les genoux de ces gens, vivants ou morts, qui ont pourri une partie de l'existence de leurs proches ou amis, mais auxquels on n'ose même pas en vouloir parce qu'ils ont fait ça "pas méchamment", ou même parfois "gentiment"...
POURQUOI quelqu'un qui comprend doit il TOUJOURS pardonner ? Relativiser le problème, je comprends, ça me semble souhaitable, voire vital dans certains cas, s'en foutre, c'est encore mieux ; mais pardonner ? S'il s'est vraiment opéré un changement, certes... Mais sinon... Depuis quand le temps change-t-il les faits ?
10:33 PM