Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
jeudi, novembre 27, 2003 Rechute Je suis malade, voilà deux jours que ça dure. Ce qui est très rigolo c'est que je sortais d'une autre maladie dans laquelle j'essaie de ne pas rentrer. Ce qui nous fait 20 jours de maladie quasi non-stop. Pour le moment, naturellement, parce que la rhino-machin-chose ne fait que commencer. Sourde, montées de fièvre tout à fait sympathiques. Je n'ai même pas eu droit à ma première nuit peuplée de délires amusants. Tout ce que j'ai eu c'est un repassage du concours dans des sous-sols qui en fait étaient des dédales de toilettes humides, malodorants et qui ne fermaient pas (quand ils n'étaient pas placés sur un podium pour qu'on puisse bien voir l'utilisateur à l'oeuvre). Je suppose que pour ma petite psychologie au comptoir, ce doit être l'archétype de la chose pas grave mais juste désagréable que de se retrouver dans une telle situation. Donc, pas de rêves rigolos dont on sort pour replonger dedans aussi sec parce que c'est trop bien.
J'ai mal à la gorge, du coup je n'arrive pas à me résoudre à boire la quantité d'eau nécessaire à un organisme qui a de la fièvre. Un petit cumul de maladies ? C'est en cours de négotiations. Et dire que je devrais foncer, profiter à fond de ce temps calme pour faire des choses dont j'ai envie, dans lesquelles je me reconnais... C'est toujours pareil : quand je veux faire quelque chose, je trouve toujours le moyen de me gâcher ce plaisir. Ca a dû me faire peur, tout ce plaisir d'un coup.
Mon mail aussi est malade. J'ai plusieurs correspondances qui sont en plan, une personne qui attend mon CV depuis plusieurs jours et qui doit se demander ce que je fabrique. Rien à faire. Point mort pour la boîte et son utilisatrice. Ils doivent tous se dire : elle abuse, tout de même, de partir en vacances juste au moment où j'attends un mail d'elle ! Non. Fabienne Franseuil est au fond de son lit, un thermomètre dans la bouche, un verre d'aspégic dans une main et un verre d'eau dans l'autre.
Il y en a qui savent s'amuser.
2:28 PM