Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
vendredi, décembre 12, 2003 L'envol du Bourdon Tirant de temps à autre sur mon narguilé, je pense au Bourdon. Voilà un petit moment que je le connais, que je le vois se manifester de temps à autre dans ces lumières si particulières des salles de concert. Une figure mythique que ce Bourdon. Il est peut-être en retrait de par sa fonction dans le groupe, mais sa personnalité est bien présente. Le voir jouer me fascine, les ambiances de concert sont des moments où il me semble qu'une partie de lui arrive à se manifester qu'il ne pourrait exprimer autrement. L'entendre jouer me fascine; je sais bien qu'il pense que je ne suis pas objective, je crois qu'il est modeste, il n'arrive pas à recevoir mes remarques comme autre chose que des compliments, des manières de lui donner du courage, pour aller plus loin. Il croit que je suis une fille gentille ;). Je ne peux pas faire grand chose contre ça. Lui répéter que je n'écoute pas en boucle n'importe quoi ne sert visiblement à rien. Ca se débloquera peut-être, mais je ne crois pas pouvoir y faire grand chose personnellement.
Son jeu me plait, parfois il me trouble et me gagne complètement. Il a du style au point de se faire oublier quand c'est nécessaire, pour capter de temps en temps toute l'attention pour lui tout seul, rappeler ce dont il est capable, comme un avertissement. Tremble Paris ! Ne sens-tu pas tes murs vibrer déjà ?
12:43 AM