Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
lundi, février 28, 2005 Sans jeu de mots Je joue au solitaire. Je pose les cartes les unes sur les autres, rouge, noir, rouge. Merde, encore un rouge. Petits problèmes sans grande importance. Rien de sentimental. Le sept sur le huit, le huit sur le neuf, le neuf sur le dix et le valet posés à côté. C'est simple. Et quand ça marche pas, je clique sur "donne" et c'est reparti. Je joue pour me vider la tête. Je joue aussi pour oublier un peu, pour supporter quand c'est trop dur. J'affronte mais parfois je flanche. Qui ne flanche pas ? Parfois ça ne suffit pas, ou il faut affronter quand même. Je crois que je vais me refaire un narguilé. Bientôt, dans un mois d'après mes calculs, je devrais pouvoir me passer de cette béquille. Ca ne va pas très bien. Ca me fait du bien de le dire même si c'est parfaitement inutile. Caramel. Charbon. Du thé, aussi. Et c'est reparti. Le sauveur que j'ai toujours voulu n'a jamais existé. Ou si : deux yeux bruns, brillants, avec un fond très lointain de mâle assurance.
1:47 PM