Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
mercredi, mars 09, 2005 Plus fort que Space Mountain Je veux parler de ma vie. Amoureuse et autre (mais surtout amoureuse en fait). Mon dernier post date d'un grand creux dans ma relation avec Nava. On a encore failli se séparer. Moi j'essayais de me préparer à cette séparation, je sentais un Nava absolument découragé par la situation sans issue... Et puis Nava a trouvé une issue. Oh, pas une issue qui résoudra tout du jour au lendemain, mais une piste... Il compte essayer sérieusement de monter sur Paris. De s'y installer. Ce serait pour moi, mais pas seulement pour moi qu'il monterait. Enfin tout ça c'est encore très frais, on n'a pas encore fait le tour de l'idée, mais ça donne une perspective de mouvement là où on s'enlisait dans les mêmes problèmes depuis... longtemps. J'ai mené en même temps deux ou trois trucs, genre concours, organisation de confs, organisation (abandonnée... snif) d'un banquet de cent (100) personnes (j'avais jamais fait, j'aurais bien aimé tenter, avec la taille de ma cuisine j'entrais direct dans le Guiness), écriture de résumés de 9-10 confs que je n'ai jamais faites pour la plupart, préparation d'une conf pour le week-end. En gros, quatre ou cinq gros trucs en parallèle, et le moral en dessous de la mer. Cette semaine, ça a l'air de vouloir s'éclaircir. J'en ai même profité pour me faire une version latine cet après midi (ooooooh Fabienne, petite gourgandine !) et des sushis ce soir, et tester les baguettes japonaises de Nava. Et puis un jour je verrai des gens, et ce sera bien. Mais je tiens à vous dire que j'ai déjà un nouvel ami, monsieur Simple, qui m'aide à simplifier ce que j'ai dans la tête (bon courage mon petit monsieur). Ca fait deux séances qu'on se voit. Il ne devait que me voir pour m'orienter vers quelqu'un d'autre parce qu'il a trop d'amis déjà. Mais à la fin de la première séance, vu le degré de complexité de la première page d'introduction de "Les Désastreuses Aventures de l'enfant Franseuil", il m'a dit qu'il aimerait bien me revoir. Mon égo gonfle ses plumes, rhaaaaa, je suis quelqu'un de compliqué, ahaha, super ! ... ah mais oui mais... je suis peut-être trop compliquée ? Et si monsieur Simple ne s'en sortait pas, et moi non plus ? AAAAAAAArgh. Bref. Ce qui est amusant, c'est que bien que j'aie la conviction d'avoir un paquet de petits et grands problèmes, un éventail large de petites névroses en tous genres, quand je suis allée le voir la première fois, je me demandais ce que j'allais lui dire. Rebelote cette fois-ci. Vous auriez pas des sujets de conversation qui permettent de ne pas laisser l'ambiance tomber pendant sa séance chez le psy ? Enfin, jusqu'ici j'ai réussi à me débloquer... Et puis si je sèche vraiment, je pourrai toujours parler des problèmes des membres de ma famille, ça devrait me tenir un moment...
11:09 PM