Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
jeudi, avril 28, 2005 Apprendre Lui -Mon mail c'est mon pseudo + @hotmail.fr Lui -Comme ça tu pourras m'écrire Moi ...
Bien. Tu es capable de prendre. Tu es peut-être capable de recevoir. Mais serais-tu capable de donner ? T'es tu seulement posé un jour la question ? Et moi ? Pardonne-moi mais je suis vidée, je n'ai plus grand chose pour le moment. J'ai besoin que ça se reconstruise là-dedans. Ca sera joli je crois, une fois les travaux terminés, mais pour le moment si tu veux m'approcher, il va te falloir ouvrir un peu ta cave à merveilles, si tu veux que j'accepte ta présence à mes côtés. Je n'entretiens pas seule la discussion pour te faire croire que tu es intelligent et que tu es un sacré petit plaisantin, caché derrière ton pseudonyme composé du diminutif le plus ridicule de ton prénom additionné d'un nombre imposé par yahoo parce qu'il y a autant de gugusses aussi inspirés qui ont eu l'idée avant toi (mais tu persistes, c'est héroïque). Je ne te tends pas de perches pour que tu fasses ce dont tu as envie mais qui personnellement ne me tente pas plus que ça. Je n'ai pas la force de te porter, avec en tête l'idée que je ne pourrai pas compter sur la pareille quand j'en aurai besoin. C'est comme cela, en même temps c'est toi qui es venu me trouver.
Je rêve de retrouver ce temps d'équilibre où j'étais capable de donner entièrement, sans attendre qu'on me donne en retour. J'étais portée par... autre chose. Le plaisir de m'ouvrir sans compter, de donner avec enthousiasme tout ce que j'avais de meilleur. Au-delà, bien au-delà de la mesquinerie des comptes d'apothicaires.
Ce temps reviendra, enfin j'espère, mais pas dans l'immédiat. Pour le moment c'est tout rentré à l'intérieur, et j'ai plus que jamais l'impression d'être décallée, inadaptée. On s'intéresse à moi, on me pose des questions, on veut me connaître, et je ne comprends pas à quoi tout ça peut bien rimer.
1:54 PM