Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
vendredi, avril 29, 2005 En après-première, quelques photos du Karna[ge]val Voilà. Ca ressemblait à ça, le Karna[ge]val, beaucoup de bruit servi par des chars aux grosses enceintes à l'arrière, contre lesquels les jeunes et les moins jeunes se collaient comme de gros bourdons. Parmi les bourdons, un papillon de temps en temps. Du bordel, beaucoup de bordel, de quoi reprendre souffle, déserrer la cravate virtuelle, ouvrir quelques boutons de chemise en dépit du froid mordant. En attendant la suite des carnages, je me suis glissée dans la foule, fixant au hasard quelques détails sans m'attarder. Suivant de loin en loin un aviateur photographe à la démarche dansante, observateur distant, comme propulsé là d'une autre époque. J'aurais aimé lui parler, il avait l'air... singulier. Si vous le voyez, saluez-le de ma part...