Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
mardi, mai 31, 2005 Fabienne Franseuil superstar Vous ne vous en rendez sans doute pas compte mais ce blog est particulièrement fréquenté... Et encore, je suppose que je ne sais pas le quart de ce qui se passe, j'ai la flemme d'aller jeter un oeil dans mes instruments d'analyse. En même temps quand on est une grosse maline et qu'on laisse traîner des indices partout, il faut bien qu'un jour ça se retourne contre vous. Enfin heureusement pour moi la majeure partie de mes interlocuteurs n'ont la ténacité de tirer profit de ce que je raconte ici. Il faut être amoureux pour cela, au moins (ça se voit que je fais une attaque larvée, là ? ;)). Donc bonjour à tous. Je profite de ce post pour faire une petite mise au point et lancer la perche à ceux qui auraient... "oublié" de me dire qu'ils avaient abouti ici. A part une ou deux personnes qui m'ont dévoilé qu'elles étaient parvenues jusque là (et que pour le coup je salue même s'ils se font passablement transparents en ce moment), je ne saurais trop suggérer les autres petits camarades de bien vouloir me tenir au courant. Je dis ça notamment parce qu'un blog ça ne se lit pas comme une biographie, qu'il y a un paquet de niveaux de lecture, et que même si je ne me considère pas comme une "calculatrice" (tu te reconnaitras), il y a des choses que je suis obligée d'adapter selon mes interlocuteurs, il y en a aussi que ceux-ci ne comprennent pas, et que je me dispense d'expliquer après avoir fait une tentative. Si ça peut vous faire plaisir de vous perdre en conjectures, de m'en vouloir à mort pour un truc que j'aurai dit ici sans pouvoir m'en parler, libre à vous. Je vous aurai prévenus. En tout cas, si vous ne répondez pas à cette invite gentille mais ferme à vous signaler, débrouillez-vous pour que je ne sache jamais que vous me lisez. Fin du petit message personnel, merci de votre attention. Sinon ça va, le net c'est rigolo ;)
11:17 PM