Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
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jeudi, février 02, 2006 Archives (Again) J'ai retrouvé ce qui suit. Un truc du 5 octobre 2005, apparemment. Il m'a fallu du temps pour comprendre un peu de quoi il était question. Je suis pas sûre de connaître le destinataire de cette prose que je n'ai sans doute jamais envoyée. Je suppose que ça n'aurait rien changé.
« I can’t put you out of my mind ». La phrase me tourne en tête depuis plusieurs jours, impossible de déterminer si je l’ai lue quelque part, et si oui, où. A moins que j’aie rêvé que quelqu’un se penchait vers moi pour me dire ça d’une voix éteinte. Qui ? Je n’y comprends rien. La fatigue mélange un bon paquet de choses, comme une grande marée cérébrale qu’il ne sert à rien de tenter de contrer. Ca se voit que je te fuis ? Tu t’en rends compte ou… ? J’ai l’impression qu’on ne voit que ça, moi immobile, muette, ma tête ronde aux lèvres scellées, un petit sourire qui ne veut rien dire. Et j’ai beau écrire ça ici, tu verras que si jamais tu venais m’en parler je ne serais pas foutue de faire un mouvement. Pourquoi ? Parce que je ne veux pas, plus jamais. C’est assez simple quand on y pense. Et puis j’essaie de me convaincre que ça ne sert à rien, que ça tournera nécessairement comme ça a déjà tourné. Je ne veux même pas me demander ce que je pourrais en penser. Avec des si on mettrait Paris en bouteille. Je t’épargne la suite, ne me remercie pas. 11:32 PM