Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
lundi, juillet 14, 2003 Le jour du 14 juillet Je ne suis pas restée dans mon lit douillet. Après une nuit courte auprès de Nava, lever au radar pour rejoindre la gare. Tiens, je viens de me rendre compte que le corps de la gare de Bordeaux avait des allures de carcasse de baleine... Bref. Donc après un séjour sur le détail duquel je ne m'étends pas ("parce que"), retour chez moi. Claude qui m'attend. Narguilé. Thé à la menthe. Entre les volutes, ça discute à plein tubes, c'est bon, c'est bon, c'est bon...
Je me rappelle en jetant un coup d'oeil panoramique à ma piaule que je suis partie dans la précipitation. Claude a redressé les murs, fait la chasse à la poussière et aux petites bêtes, la maison rutile comme jamais. En rentrant de la gare, elle me fait une salade "à la Claude", avec des choses à l'intérieur que je ne sais même pas où on les achète ;) J'ai beau faire mon "independent woman", ben ça fait du bien, ça fait plaisir.
Ca commence bien. Et puis Nava va venir à la fin de cette semaine sur Paris, "pour affaires".
Alors ce soir, c'est presque la pêche, il y a de la biguine dehors, pour un 14 juillet finalement, ce genre de musique ce n'est pas si mal. J'ai le fond musical gratuit ce soir. Et obligatoire. Mais on s'en fout. Comme du reste de ce post. En fait je venais juste dire que j'étais revenue, et puis ça a dérapé. Ca fait plaisir de revenir ici un peu, même si un break loin d'internet, ça fait du bien...
11:07 PM