Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
mercredi, septembre 10, 2003 Retour 23h, Montparnasse. Curieux, je n'ai jamais trouvé Montparnasse gris ou terne. Bilalesque à la rigueur, pas terne.
Dans le train, deux gamins qui se chargent d'occuper l'espace sonore que les adultes fatigués avaient laissé libre. Ca crie sa joie, ça huuuuuurle sa peine. Pénible. J'entrecoupe l'épisode de la Métaphysique des tubes d'Amélie Nothomb. Le livre m'ennuie. J'ai lu et apprécié quelques romans d'elle, mais aujourd'hui ce livre me fatigue, les gesticulations de son auteur montée sur grands chevaux me fatiguent. Je n'arrive pas à déterminer si c'est la qualité du livre ou bien mon humeur assombrie par la séparation d'avec Nava, et le retour aux réflexions sur le concours sur un mode "à quoi bon, tu es nuuuuuulle, et puis tu as vu le nombre de places par rapport au nombre de candidats ?". M'est avis que le premier travail que j'aurai à faire dès ce soir, c'est de travailler là-dessus. Il me semblait que ça avait progressé, que mon manque de confiance post concours était lié au contrecoup du stress que j'avais accumulé pendant les épreuves, au raz le bol du travail (plusieurs mois, dont trois bien tassés), mais à présent, de retour de vacances (et de bonnes vacances), en voyant se repointer les interrogations et les tournages de couteau dans la plaie, je dois bien me rendre à l'évidence, le travail est devant moi et pas derrière. Je viens de m'en rendre compte et j'ai commencé à prendre le problème à bras le corps.
J'avais l'intention de faire un post très acide sur la rentrée, mais cette découverte m'a coupé toute velléité pseudo-belliqueuse. Tant pis. Ou tant mieux ;)
11:51 PM