Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
mercredi, novembre 19, 2003 Maaaaaarre Ca y est, j'en ai assez, plus qu'assez de travailler. En même temps, j'ai fait le calcul que ça fait depuis au moins avril que j'ai toujours un truc chiant en tête. J'ai bien pris des vacances, mais c'étaient davantage des parenthèses dans le travail, donc plutôt des moments largement plannifiés en fonction du travail.
Nous sommes en décembre. Et qu'est-ce qui vient ? D'abord une conférence, puis un article pour lequel je dois faire des finitions avant décembre. Ensuite, un autre concours à passer vers la mi décembre, et que je veux préparer. Enfin, un voyage avec une lourde préparation (au moins deux mois). Sachant que si je ne suis pas prise, dès janvier je reprends les cours de préparation pour le concours que j'aurai manqué...
C'est la fête.
Je crois qu'il va bientôt être temps que je me pose pour me demander ce que je veux vraiment. Il y a des choses qui sont aménageables, mais jusqu'à quel point ? Mes réflexions sur la fidélité avec Nava sont au point mort depuis juin. "On n'a pas le temps", dit-il. Jusqu'à quand ? D'autant que je crois qu'il s'est callé sur mon emploi du temps qui effectivement est chargé depuis juin, du point de vue temps et du point de vue liberté d'esprit. On peut se dire que tant qu'on est tous les deux enfermés dans notre boîte le problème de la fidélité ne se pose pas : voilà qui me semble déliremment présomptueux... Récemment, une petite gourgandine s'est mis en tête de faire une cour (maladroite) à mon amoureux ; je ne m'abaisse pas à moucher la jouvencelle, mais cette histoire sans importance m'a inspiré un agacement surjoué certes mais suffisamment présent à mon esprit pour que j'en parle ici...
Bref. J'ai envie de changer de cause à défendre, élargir mes horizons bouchés par les cours, les photocopies, les diapositives et les journaux en anglais. Faire le point, pas pour améliorer la qualité de mon travail, mais pour améliorer la qualité de ma vie. En attendant, je vais faire le contraire de ce que je dis pour encore un petit peu de temps, en travaillant encore pour un petit peu de temps avant d'entamer une réflexion plus profonde que "comment on dit "curiosité malsaine" en anglais?" (en ce moment ma réflexion atteint des profondeurs pédiluviennes).
7:07 PM