Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
mardi, août 29, 2006 Ca y est Mon téléphone sonne dans le métro. Je regarde : numéro masqué. Je décide de laisser sonner et qu'on me dise ce que l'on me veut. Quelques instants après, un message sur mon répondeur. Je tends l'oreille jusqu'aux circuits de mon téléphone high tech qui est parfait pour tout sauf pour l'usage normal d'un téléphone (je crois que je me suis fait avoir, ça se confirme), c'est la mairie du pays où toutes mes pensées ou presque allaient ces derniers temps, j'arrive juste à entendre vers la fin du message qu'il faut que je rappelle pour faire le point. Je suis partagée entre le "nous n'avons pas pu retenir votre candidature, appelez moi demain pour qu'on fasse le point" et "nous avons retenu votre candidature, appelez moi demain pour qu'on fasse le point". La ligne 5 du métro a des lenteurs incroyables, c'est à croire qu'elle est partie dans l'autre sens tellement ça ne va pas vite. Je me dis "c'est gentil qu'elle m'appelle, la dame, qu'elle veuille faire le point pour me dire pourquoi ils ne m'ont pas retenue". Je me prépare à entendre le début du message. Puis je sors, je veux être près de chez moi pour entendre le message dans sa totalité. En sortant, je vois qu'il pleut à grosses gouttes. Je compose le numéro de la messagerie. Alors voilà. Je suis retenue, la DRH veut me parler demain. Pour faire le point. Avant 11h. Mes jambes de dérobent sous moi, un peu plus et je rampe jusqu'au cocon qui me sert de chez moi, ce qui finalement est assez logique quand on y pense. Cinq personnes mises au courant. Demain je passe un coup de fil avant 11h, donc. Et puis je parle à mon chef, s'il est rentré de vacances, ce qui a priori n'est pas gagné. Il faut que je me trouve une remplaçante, que je la forme aux petits oignons et que je commence autre chose. J'avoue avoir du mal à réaliser, quand même. Comme quoi, une lueur d'espoir, ça peut faire énormément...
EDIT : Blogger lui-même en est tout incrédule, il m'affiche les accents avec des point d'interrogation... Je tirerai ça au clair plus tard, hein... EDIT : Ecoutez Clarika, ça ne peut vous faire que du bien (ne cherchez pas)
7:36 PM