Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
dimanche, octobre 31, 2004 C'est l'histoire de Fabienne Franseuil qui joue avec son cerveau Ce n'est pas parce que je ne poste pas que ça ne bouillonne pas dans ma tête.
Je voulais du fondamental, c'est bon, j'en ai, là.
Sentiment paradoxal de ne pas savoir où j'en suis et pourtant d'avoir du mal à supporter de me trouver dans mon corps et en particulier dans ma boîte crânienne.
Je suis dans un état où j'en viens à trouver un sens profond (bien qu'encore mystérieux) à ceci.
En plus j'ai terminé il y a quelques jours la Maison des Feuilles de Danielewski (lecture que je suggère aux personnes un minimum solides). Je ne sais pas dans quelle mesure cette lecture a accentué ma sensation de ne plus savoir distinguer le haut du bas.
C'est difficile d'avancer quand on ne sait pas où est l'avant et où l'arrière. J'essaie quand même. Ca doit être l'un des symptômes attestant que je suis vaguement barrée. Et comme toute personne suspendue dans le vide sans savoir distinguer le haut du bas, je me demande si cette stabilité relative est éphémère, et si oui, combien de temps elle durera.
Horrible envie latente pour m'endormir sans oublier mon être ou naturellement espérer.
1:02 PM