Le sieur Jean-Luc-sur-son-blanc-destrier a fait la peau au dragon qui gardait mes Très-Saintes-Pattes-de-Mouche et terrorisait par la même occasion les braves gens vivant dans les vertes contrées de ce pays merveilleux, et cela depuis, pfiuuuu, au moins une année...
Fabienne Franseuil est une brelle de la technique, mais l'euthanasie n'est pas autorisee dans ce beau pays. Vous pouvez la joindre via le mail à fabienne.franseuil[at]free.fr. A bonne entendeur...
Et puis vous pouvez aussi aller vous promener par :
samedi, janvier 22, 2005 Parenthèse enchantée Ca s'ouvre sans prévenir, au détour d'une nuit où il est déjà trop tard pour qu'on puisse penser. Ca s'impose comme un rêve ou un cauchemard. Impossible de distinguer le haut du bas. Un amour en diagonale, c'est peut-être ça. Moi qui ne savais qu'aimer verticalement, horizontalement parfois, je chancelle. Est-ce grave ?
Il n'y a plus de but.
Il n'y a plus de bien.
Il n'y a plus de mal.
Il ne devrait plus y avoir de douleur. C'est la condition de la parenthèse enchantée, que j'essaie de garder comme on garde les yeux fermés dans l'espoir de replonger dans le rêve.
Les cadres disparaissent. Bienvenue dans un monde flottant.
9:52 PM